vos pires galères de voyage

[Article Collaboratif] Vos pires galères de voyages vues par 8 blogueurs !

Article spécial sur les galères de voyage ! Retrouvez 8 blogueurs qui nous content leur mésaventures !

On se retrouve aujourd’hui pour mon premier article collaboratif : Ma pire galère de voyage ! J’ai donc fait appel à 8 blogueurs voyageurs pour raconter leurs mésaventures en voyage. Qui dit voyage dit galères ! Ça fait partie du contrat… Mais au final ça nous fait une belle anecdote à raconter quand on rentre.


galère de voyage d'annabelle

Ma pire galère de voyage vue par Annabelle de Matante A

À la demande de Jennifer, je vous raconte, pour une première fois, ma pire galère de voyage. La malchance était tellement au rendez-vous cette fois-là que mon récit débute non pas dans une destination exotique mais bel et bien au départ! Avril 2001, je quitte pour le Chili au départ de Montréal. Je vais rejoindre une amie à Santiago qui y travaille depuis quelques mois. Je monte dans l’avion qui me conduit à New-York pour une escale. Le malheur s’abat immédiatement sur moi : en m’installant dans mon siège, je ressens un « crac » bien senti dans mon genou. Je constate rapidement, à travers mon jeans, l’ampleur de la débâcle : mon genou pend lamentablement vers la droite, je viens de subir une luxation de la rotule…

Je garde mon calme, avertis tant bien que mal l’agente de bord en tentant de lui expliquer la situation et parce que l’anglais n’est pas ma langue maternelle, les mots ne me viennent pas facilement! « I have a problem. My knee… my knee is on the side »!!! Oui, oui, vous pouvez rire ici mais que voulez-vous, mon cerveau ne voulait utiliser que des mots simples et le terme « dislocation » ne me vient pas! L’agente (qui n’a probablement jamais connu une situation aussi burlesque!) prévient les ambulanciers sur place mais moi, avec mes pensées qui tournent à cent à l’heure, je cherche une solution pratique et rapide. « Il y a un médecin ici? Ou peut-être un médecin à New-York? » Mais on me remet rapidement sur le droit chemin. Il est beaucoup plus simple de se faire soigner chez-soi.

On me débarque donc du vol pour me conduire à l’hôpital (mes excuses aux passagers, en espérant que vous n’avez pas raté votre correspondance!). Un médecin replace mon genou et je retourne, dépitée, à la maison. Heureusement, je repartirai 2 jours plus tard, une attelle au genou. À destination, j’ai plutôt remplacé les randonnées prévues en montagne pour les plages du Pacifique. D’ailleurs sur une des photos, on me voit au bord de la mer à Maitencillo avec cette fameuse prothèse restreignant mes mouvements. Sur la photo, j’ai la jambe un peu raide avec mon appareil sous mon pantalon. Les ascenseurs de Valparaiso étaient plutôt pratiques. Mais je garde toute de même d’excellents souvenirs du pays et j’en ri bien aujourd’hui!


Ma pire galère de voyage vue par Chrys et Alex de Wait & Sea

Les galères de voyages on pourrait vous en écrire un bouquin tellement c’est systématique chez nous. Cependant on va surement se concentrer sur la plus récente et traumatisante. Nous sommes partis en Norvège en mars, et le temps d’une journée, nous avons vécu notre vie chacun de notre côté : Alex au ski à Narvik et moi (Chrystelle), dans un train en direction de la Suède pour admirer les paysages. Ne sachant pas où je vais atterrir, j’ai prévu une escale de seulement 15 minutes, parce que dehors, il fait super froid là bas hein. Seulement, pas de bol. Non seulement mon train a eu du retard, de l’ordre de 1h45 à peu près, il faisait -30°, mais surtout j’étais au milieu de RIEN. Pas de gare, juste un long toit de taule extérieur, une station de ski hors-piste fantôme quoi. Seule au monde. Je ne comprends rien aux annonces du haut-parleur, et il me reste 2% de batterie. J’ai été à deux doigts de vomir de froid sur la dernière demi-heure. Pour couronner le tout, une voiture étrange aux vitres teintées venait stationner dernière moi toutes les 30 min puis repartait. Il se trouve que c’était une voiture de flics, qui ont fait une descente dans le train (quand il est ENFIN arrivé) pour choper un trafic de drogue. Dans MON train. J’ai mis deux jours à me remettre du froid de cette soirée là, mais on commence à pouvoir aborder le sujet avec le sourire (parce qu’Alex de son côté, a passé une journée de foufou !). Chrys et Alex.

Vous pouvez retrouver son article ici : Norvège: des piste de ski de Narvik… à la suède, en train. 


ma pire galère de voyage vu par tchingubook

Ma pire galère de voyage vue par Boubly & Gash0u de Tchingubook

Hello ! Avec la collaboration de Jennifer, on vous raconte l’une de nos pires galères de voyage.
Bon, ce n’est pas ce qui nous ait arrivé de pire, mais en y repensant c’est quand même marrant !

C’était en 2014, lorsque nous étions en Corée du Sud à Busan. Ce n’était pas la première fois qu’on y allait, alors avant d’entamer ce petit périple, on a tout planifié. Mais peut-être pas assez finalement… On avait prévu d’y rester 4 nuits/5 jours, mais on s’était dit que pour la dernière nuit on ferait une nuit blanche dans une salle d’arcades car on aime trop ça. Donc bien sur, on ne réserve aucune nuit pour ce jour. Si on fatigue vraiment, on pouvait toujours aller au Jimjilbang (sauna coréen où on peut y dormir). Donc on suit notre plan, tout se passe bien, on s’amuse, on joue … c’est trop cool ! Jusqu’à ce que des hommes arrivent. Là, tout bascule (*musique dramatique*). Ils nous embêtent, nous suivent, sont weirdo et ne veulent pas nous lâcher. Au final, on se sent obligée de s’en aller. On s’enfuit vers une supérette 24h mais deux autres hommes nous suivent ! Il devait être environ 2h du matin… Alors on passe au plan B, direction le Jimjilbang. Une fois sur place, on nous dit froidement qu’on ne pourra y rester que jusqu’à 4h du matin… c’est-à-dire juste pour 2h. SUPER !

Pas le choix, on s’invente un plan C: un café 24h. On y va, on s’y pose mais le personnel décide de mettre la clim à fond alors que dehors il faisait 30 degré (bonjour la crève). En plus de ça, on n’avait aucune affaire, pas de chargeurs portables… Pour tuer le temps, on fait un baccalauréat ! On a fait toutes les lettres de l’alphabet pour tout vous dire haha ! Finalement, on quitte le café vers 6h30 pour aller récupérer nos affaires et attraper le bus (situé à l’autre bout de la ville) pour Séoul. On vous laisse imaginer notre état : pas lavées, pas fraîches, en mode zombies avec nos bagages. Bref, cette journée ne se termine qu’une fois à Séoul, où on fini par comater dès 17h dans notre lit, et ce jusqu’au lendemain !

Une nuit galère qui finalement reste un bon souvenir =) En espérant vous avoir fait sourire, à bientôt !


Ma pire galère de voyage vue par Amandine de RegardLointain

Je conduis la première, je teste un peu Isabelle, ma belle 4L, toute contente de la manœuvrer. Même si je fais du 90km/h au lieu de 130 tout en étant le pied au plancher. C’est ça la joie des 4L.
Bref, je suis heureuse. De voir toutes ces 4L colorées sur la route, toutes ces personnes nous klaxonnant. Tellement heureuse que pour une fois, même si je n’arrive pas à attraper mon ticket d’autoroute parque ce que je suis dans une voiture toute petite et que je me suis encore arrêtée trop loin, ça ne me dérange pas d’ouvrir la porte pour l’attraper ce fichu ticket. Tellement heureuse encore que je ne vois pas mon sac tomber. Ou la voiture de derrière klaxonner comme un fou pour m’avertir. Non, non je suis heureuse, je reprends la route. Le petit souci c’est que c’est LE SAC OU IL Y A TOUS LES PAPIERS ! Assurance, inscription, passeports…la joie laisse la place au stress en un quart de seconde quand je m’en rends compte. Je vois déjà mes rêves de Maroc et de dunes s’envoler…

Finalement, nous allons le récupérer ce sac. L’autoroute le garde jusqu’à ce qu’un autre équipage, que nous ne connaissons pas, le prenne pour nous le rendre plusieurs heures plus tard. La magie de l’entraide entre Trophystes !

Le reste de l’aventure se déroule plus ou moins sans encombre. Le but du 4L Trophy c’est quand même de galérer un peu. Dans les dunes, à trouver sa direction…ça nous le savions. Nous sommes à peu près tranquille jusqu’au jour du retour.

7h pour relier Marrakech et Tanger. Nous rangeons la voiture et nous voilà sur la route. Et là, nous ne retrouvons plus notre pochette avec encore une fois TOUS NOS PAPIERS DEDANS ! Les billets du ferry, nos passeports, tout, tout, tout. Nous appelons l’organisation, l’hôtel, désespérées….rien, personne n’a RIEN.

Nous sommes au bout, tellement que nous nous trompons de route et que nous nous retrouvons dans Rabat. Nous visitons, c’est toujours ça. Et là, à un feu rouge, une voiture de l’organisation nous klaxonne, nous fait de grand signe, et nous rend… NOTRE POCHETTE ! Nous n’avons pas le temps d’en savoir plus que le feu passe au vert. Nous apprendrons l’histoire plus tard. Figurez-vous que nous avions oublié notre pochette sur le toit de la voiture. Oui, oui vous avez bien lu. Nous avons roulé plusieurs heures avec avant de s’arrêter sur une aire, lieu où elle a décidé de tomber ! Assez ironique dans l’ensemble. Et au final, nous aurons terminé l’aventure comme elle a commencé. Avec du stress, mais une jolie histoire à raconter.

Vous pouvez retrouver son article ici : Participer au Raid 4L Trophy : Le bon comme le mauvais.


ma pire galère de voyage vu par gaelle

Ma pire galère de voyage vue par Gaëlle de Moietmeszeles

Une nana un peu fofolle pied nus et claudiquant dans les rues de Berlin ça ne vous dit rien ?  Ben oui ! C’était moi ^^

Heureuse comme une puce à l’idée d’aller visiter la capitale et surtout d’en admirer le symbole et celui de la réunification allemande, la célèbre Porte de Brandebourg, je me suis empressée d’enfiler ma paire de sandale. La sandale et sa définition : Sorte de chaussure ne couvrant le dessus du pied qu’avec des cordons… Tout est dit ! Ou du moins ces fameux cordons allaient-ils devenir les meilleurs amis de ma galère de voyage…

Reprenons du début. En route pour visiter ce monument victorieux et qui n’est pas sans nous rappeler l’antiquité avec sa statue de char et sa frise sur la corniche, nous entamions donc notre balade tranquillement en admirant, en flânant et en s’enivrant du doux parfum estival de la ville, de ses bâtiments … Et merde ! ( l’histoire avait si bien débuté ^^) ces maudites sandales m’ont lâchée ! A peine arrivée sur l’Alexander Platz que je sentis mon pied se contorsionner dans tous les sens, essayant en vain de maintenir la chaussure en place pour continuer d’avancer.

Impossible ! J’avais beau me dandiner, danser, sautiller… La cata je vous dis !

Au bout de vingt minutes (vous pensiez que nous étions presque sur place ? Que nenni!^^), j’ai du me soumettre à l’impensable, marcher nu pied ! Un clown je vous dis ! ^^  Nous avons cherché des tongs de secours durant tout le trajet (et mon dieu qu’il paraissait ne plus finir) par une chaleur étouffante et un soleil de plomb, notamment sur la si belle avenue Unter den linden ( que j’ai entraperçu tant mes pieds me faisaient mal ).

Quelle mission on ne s’était pas donnés là ! Je vous jure qu’à ce moment j’étais au bord de craquer mon slip oui, oui ^^ et mes pieds hurlaient de désespoir aussi. Pour des prix exorbitants, j’aurais pu en effet retrouver « chaussure à mon pied ». Mais alors que je n’y croyais plus, c’est finalement quasiment au pied de la porte, nu pieds, transpirant comme un goret et le visage crispé de douleur que nous avons trouvé des tongs « cheap ». Mes pieds boursouflés enfin criaient victoire !

Une sacrée galère, des débuts difficiles mais alors quel magnifique aventure ! Ich liebe Berlin ^^


ma pire galère de voyage vu par sandra

Ma pire galère de voyage vue par Sandra de Bibliblog

Ma pire galère en voyage ? Rien de vraiment grave. C’était l’an dernier. Nous étions rentrés en France à Noël et nous avions 3 avions à prendre pour rejoindre Tokyo (quand on vient de province, c’est tout de suite plus compliqué), car nous n’avions pas de vol direct depuis Paris. 1er vol pour rejoindre la capitale, pas de souci. Mais à Roissy, l’avion est resté sur le tarmac pendant plus d’une heure à se faire dégivrer. Résultat on a raté notre correspondance pour Tokyo. En soi, rien de bien méchant. Sauf que devinez où on faisait escale ? À Dubaï. Or à Dubaï, il fait super chaud même début janvier, et nous sommes arrivés avec nos manteaux, nos bottes bien chaudes, nos écharpes… Si l’aéroport s’est occupé de nous trouver un logement, un moyen de transport pour s’y rendre etc. et a tout super bien pris en charge, nos valises, elles, n’ont pas suivi. Donc nous n’avions rien à nous mettre et surtout rien de léger. On a lavé nos vêtements le soir en nous couchant et ils étaient heureusement secs le lendemain (mais toujours aussi chauds !). 24h après cette mésaventure, nous avons pris un autre vol pour Tokyo, sommes arrivés à une heure du matin chez nous… pour nous lever à 6 h pour aller au boulot ! Moi qui avais prévu 24 h pour qu’on ait le temps de se remettre du foie gras et du décalage horaire, je vous dis pas ma tête en arrivant au travail ! On ne peut pas dire que j’ai dû être très performante ce jour-là 😉 Mais ça me servira de leçon, depuis, je prends de quoi me changer dans mon bagage cabine ou dans mon sac à main. Au cas où…


Ma pire galère de voyage vue par Lauriane de Je suis partie voyager

Ma pire expérience de voyage En voyage il ne m’est jamais arrivé de choses terribles mais j’ai tout de même quelques anecdotes qui ont engendré leur dose de stress, d’incertitude ou de déception sur le moment et font rire une fois vécues. L’une d’elle fut la pire car à peu près la seule arnaque que j’ai vécue. J’ai par principe de ne jamais accepter, ou presque, les sollicitations spontanées. C’est pourtant ce que nous fîmes en arrivant sur Flores, ile indonésienne d’où partent les tours pour l’île de Komodo. A l’aéroport nous acceptons un taxi pour le centre ville qui propose ses services pour partir en croisière à la découverte ces îles ; exactement ce que la majorité des touristes recherche. Nous ne faisions pas exception. Je m’arrange pour qu’on voit le bateau avant, ce qui est conseillé et négocie pour que le budget ne dépasse notre maximum. En théorie nous partons le lendemain à 4 sur un joli bateau pour 2 jours en mer. Le deal passé avec Cypriano semble bon et nous passons l’après midi à découvrir les environs. Mais quand je me connecte le soir à ma boite mail, je vois qu’il a cherché à me joindre et heureusement il n’est pas trop tard, il me répond au téléphone et me dit que le couple d’italiens qui devait partager l’excursion est tombé de scooter et que l’un d’eux est à l’hôpital… Je lui demande de s’arranger pour que nous partions tout de même et lui donne rendez-vous au matin. Nous cogitons toute la nuit et concluons que nous n’avons as été bien malins. Nous savions que les italiens avaient payé pour un tour privé mais Cypriano nous avait ajoutés à la croisière sans apparemment les notifier, c’est qu’il y avait anguille sous roche. Le lendemain nous ne traînons pas et nous levons tôt à la recherche d’excursions qui partent sur le champ et nous croisons presque par hasard Cypriano qui était introuvable au lieu de rendez-vous. Je ne le lâche pas pour qu’il nous trouve un tour et c’est ce qu’il fait. Le bateau n’est plus du tout aussi charmant mais il réclame tout de même son argent. Pas de chance pour lui, avec toutes ces péripéties nous n’avons pas eu le temps de sortir de l’argent pour payer les entrées non incluses. Cypriano s’en tirera avec 20% en moins et repartira sans un mot, ronchon.

Vous pouvez retrouver son article ici : Mésaventures et conseils ; un bateau pour Komodo.


Ma pire galère de voyage vue par Cindy de cindiaries

Après une journée de visite, nous sortons découvrir London by night comme chaque soir. Sauf que ce soir-là, arrivé devant le club, les videurs nous demandent notre ID comme on s’y attendait. Je fouille dans mon petit sac. Ma carte d’identité n’y était pas. Bizarre j’étais pourtant persuadée de l’avoir prise. Bref, étant la seule à ne pas l’avoir, les videurs nous laissent quand même rentrer profiter de notre soirée.

Le lendemain, je me lève à la recherche de ma carte d’identité. Je fouille partout dans mes affaires et dans ma chambre mais impossible de mettre la main dessus. Mais qu’est-ce que j’en ai fait alors que la veille je l’avais encore ? Je demande à l’accueil du B&B où nous logeons, ils n’ont rien retrouvé. Je me rends alors aux objets trouvés du métro londonien, pas de carte d’identité retrouvée. Le désespoir commence à monter en moi. Je dois rentrer demain en France et si je n’ai pas de papier d’identité, je ne vais pas pouvoir passer la frontière. Je poste un message sur Facebook pour prévenir que j’ai perdu ma carte d’identité à Londres et demande des solutions.

Pendant que mes amis partent pour une nouvelle journée de visite, une journée de recherche et de démarches m’attend. Je retourne au restaurant où nous avons mangé la veille, les serveurs n’ont rien retrouvé mais m’indiquent la démarche à suivre pour que je puisse rentrer en France demain. Le premier arrêt fût donc le commissariat de police de quartier pour signaler la perte de ma carte d’identité puis second arrêt au consulat de France pour me procurer une autorisation de sortie du territoire. Seulement pour rentrer dans le consulat de France, on nous demande une carte d’identité ! La bonne blague ! J’explique donc que je viens justement car j’ai perdu la mienne. Par chance, mon permis de conduire que j’avais sur moi a fait office de papier d’identité. Après des heures d’attentes, des photos à faire, des papiers à remplir et 85€ à régler, j’ai enfin mon autorisation de sortie du territoire !

Plus de peur que de mal, j’ai pu rentrer chez moi et recevoir une nouvelle carte d’identité avec une photo prise dans le métro londonien. Mon ancienne carte, quant à elle, se balade peut-être toujours dans les rues de Londres…

Vous pouvez retrouver son article ici : Comment j’ai failli rester bloquée à Londres.


Concernant mes galères de voyages vous pouvez les retrouver dans la série “Miss Catastrophe” !

Merci à la participation des ces 8 blogueurs, en espérant vous avoir bien fait rire ! Et vous, quelles sont vos galères de voyages ?

ENJOY !

Épinglez-moi !

There are 18 comments

  1. Ouhh quand je lis tout ça, je me dis qu’on a de la chance… Mention spéciale à la rotule ! :p Nous notre pire galère ça a été d’avoir réservé par erreur une chambre une personne au lieu d’un chambre deux personnes en Ecosse… on est large ! On touche du bois. 😀

  2. Celle qui me fait le plus frémir, c’est celle de Chrys, quelle horreur, je me souviens de son récit !
    Celle d’Annabelle… pauvre genou !! c’est fou !!
    Super article Jen, quelle collection !

  3. Merci Jen pour cet article collaboratif qui m’a bien inspiré ! Certaines galères m’ont bien fait rire !
    J’ai rencontré tellement de galères de voyage que j’en ai encore pas mal à écrire sur mon blog.

    A bientôt 🙂

  4. Et bien, nous avons eu du avoir de la chance car nous n’avons eu d’aussi grosses galères.
    En tout, ton article est top et original. ça pourrait être sympa d’avoir un article collaboratif sur les plus grosses arnaques rencontrées en voyage.

  5. Ça en fait des galères ! Et ca me rappelle une des rares que j’ai pu avoir mais qui clairement était beaucoup moins drôle (rapatriement après hôpital) ! En tout cas ça me rassure, moi qu’on surnomme Pierre Richard y’en a des pas mal

  6. LEs galère de voyage qui te donnent envie de pleurer sur le coup mais dont tu rigoles après (parfois longtemps après quand même). Pour ma part je ne sais que choisir : arriver à Londres pour notre premier voyage en amoureux sans le sou parce que la banque a perdu le chèque de banque ? Arriver à Prague au milieu d’une tempête qui a provoqué des inondations ? Avoir la carte bleue bloquée au deuxième jour de notre road-trip ? Se faire courser par un allemand à 6h du matin parce que nous avions dormi dans notre voiture le long de son champs car tout les campings étaient fermés ? Ou alors plus récemment l’angine blanche qui m’a empêche de profiter de la gastronomie grecque ? J’avoue que mon coeur balance 😀

  7. Wahoo ! Quand je vois toutes ces galères, je me dis que la mienne était plutôt soft à côté ^^
    J’avoue que le genou, c’est une histoire assez incroyable !
    Bravo en tout cas c’était une chouette idée. Et c’est clairement un genre d’articles qui peut se faire à l’infini 🙂

  8. Je trouve géniale cette idée d’article !!!! 😀 J’aurais bien aimé participer mais on dirait que j’ai une mémoire sélective, impossible de me rappeler une vraie galère de voyage, alors que clairement je ne fais pas exception. Enfin si, la seule dont je me souvienne, c’est ce foutu ouragan en Floride! XD

    1. Haha oui il y a de sacrées histoires ! Mais avec le recul on en rigole tous. On sait tous que les galères font parties du voyage. Et en PVT il y en a des tonnes 😉

      1. Mais complètement d’accord ! D’ailleurs on parle souvent des anecdotes de voyage. Ca pimente l’aventure et ça fait parti du jeu ! C’est clair qu’en PVT y’en a des tas lol ! En tout cas je n’en regrette aucun ^^

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